Dé-confinement, le temps de figer le temps.
Strasbourg, ce dimanche matin.
On oublie que d'habitude, les touristes inondent ces rues.
On oublie les batôbus, qui sillonnent l'Ill.
On oublie les cyclistes, les voitures, les trams, les bus, le bruit, les commerces ouverts, les étals place de la Cathédrale et rue Mercière,
On oublie qu'une ville bouillonne.
Au lieu de ça, le chant des oiseaux, des rues vides, des boutiques fermées, des rues sans voiture...
Sentiment de fin du monde, ou presque...